Le stage qui remet du souffle dans nos vies

Dans nos vies parfois essoufflées et nos sociétés contractées, lâcher-prise, relâcher la pression… Ce n’est pas si facile. Et ça ne se force pas. Mais il existe des pratiques pour favoriser ce mouvement libérateur vers la dé-contraction. Pour cesser de vivre en apnée, fesses serrées, estomacs noués. S'émanciper tranquillement mais sûrement des logiques qui pressurisent nos corps, nos cœurs, nos têtes, nos communautés, la planète... Et remettre ainsi du souffle dans nos vies. J’appelle ça, poétiquement, l'art de péter un coup.

Il va s’agir d’apprendre à se libérer des mécanismes de tension qui nous plombent de l’intérieur (anxiété, autocritique, insatisfaction, ruminations, culpabilité, perfectionnisme...). Mais aussi d'aller à contre-courant des logiques sociétales légèrement pétées qui nous mettent individuellement et collectivement sous pression (hymne à l’hyperactivité, culture de la fatigue, diktats consuméristes, culte de la performance, incitation à la comparaison, déni des corps, récit de l’insuffisance, accaparement du vivant, oppressions, division, individualisme à outrance… Et autres réjouissances qui me foutent en stress rien qu’en l’écrivant).

Derrière toutes ces contractions, sommeillent l’énergie, la créativité, la joie, la sensibilité et la tranquillité dont nos vies ont besoin.

Bref, comme vous le voyez, péter un coup, c’est pas du vent.

Bienvenue pour pratiquer ensemble cet art revitalisant et libérateur du lâcher-prise.

Marianne

Détails pratiques barbants mais importants :

- Le stage alternera entre différentes pratiques de mindfulness, self-compassion et écopsychologie. Entre théorie, pratiques et partages.

- Il n'est pas nécessaire d'avoir lu le livre ou de connaitre ces pratiques pour participer. 

- Merci d'apporter de quoi écrire.

- Tenue confortable évidemment, histoire de ne pas avoir le slip ou le string tendu, ce serait le comble.

- Repas du midi non-inclus. Apportez vous un pic-nic, flageolets autorisés vu le thème du stage.

J'arrête de filer cette métaphore douteuse.

A bientôt !