Responsive image

Cinéma

Pink screens film festival

Journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie.

Le 14 mai 2022 de 19:00 à 20:40
Centre Wallonie-Bruxelles I Paris, 75004, Paris France
Centre Wallonie-Bruxelles I Paris

Description

_________________________________________________________________________________________________

[14 mai - 19h]

___________________________________________________________________________________

 

Pink screens film festival / Jerk’off

Journée mondiale contre l'homophobie, la transphobie et la biphobie 

 

Au bénéfice de la Journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie et pour la seconde année consécutive, le vaisseau Centre s’associe au Festival transdisciplinaire indiscipliné Jerk off et s’amarre au Pink Screens Films festival pour séance de courts métrages belges.



Au programme :

■ En ce moment – Serena Vittorini (2020 – Belgique/Italie – 15 min.)

Dans une Bruxelles confinée, le portrait intime d’une relation amoureuse lesbienne explosive.

■ Les Attendants – Truong Minh Quy (2020 – France / Singapour – 15 min.)

Aujourd’hui, un terril, c’est un lieu où des hommes se retrouvent pour partager des moments d’intimité, mais c’est aussi l’endroit où celles et ceux qui ne peuvent trouver refuge ailleurs vivent.

■ Nuits sans sommeil – Jérémy Van der Haegen (2020 – Belgique – 30 min.)

Le portrait d’une enfance au quotidien. Un village, une famille, un petit garçon qui aime porter des robes, le retour du loup et la vie de chaque jour, ordinaire et banale, sont la matière d’un récit qui raconte les désirs enfouis.

■ Versailles – Hyun Lories (2020 – Belgique – 19 min.)
 
Sanaa retourne dans le quartier dont elle a dû s’échapper pour tenter de vivre sa vie. Pour se réconcilier avec sa petite sœur Rana, elle lui promet de l’emmener pour la toute première fois en bord de mer.
 
■ Yser – Quentin Moll-Van Roye (2021 – Belgique – 21 min.)
 
Fin 2020, une enquête regroupe les témoignages de 17 personnes trans qui proposent des services sexuels dans le quartier Yser de Bruxelles. L’une d’elles accepte de témoigner face caméra afin de mettre en lumière les violences qu’elles subissent.